Newsletter du 25/02/2015
Elle avait cru à l’amour,
Celui qui dure toujours
Mais avait découvert le chagrin
bien loin du contentement divin
Tu avais confondu plaisir
et la montée du désir
tu rêvais d’être en joie
Tu te noyais dans le désarroi
Cesse donc de subir
Ne sais-tu plus frémir ?
Tu dis avoir perdu le goût d’aimer
Regarde donc celui-là, je te vois déjà rêver
Que reste-t-il de l’amouramour
Face aux prêches pour le divin
Le paradis est promis, toujours
Et souvent, ne reste que le chagrin
On nous fait croire que le plaisir
Nous plongera dans le désarroi
Qu’il n’y a qu’en un Dieu de désir
Que lui seul apporte la joie
Mais quand cesserons-nous de subir ?
Reprendrons-nous notre droit à rêver
Le monde tel qu’il est me fait frémir
Moi, je ne demandais qu’à aimer
Si tu connais un jour, le grand amour,
Et qu’il se termine, ne sois pas chagrin
Tu aurais voulu que cela dure toujours
Mais qu’importe, si celui-là était divin
Souviens-toi seulement du plaisir
Qu’il y avait à partager à deux, la joie
De se faire plaisir et de conjuguer le désir
Mets fin à ce qui te freine, à ton désarroi
Il ne faut que tu cesses de subir
et que tu recommences à aimer
Laisse-toi à nouveau frémir
Tu sais combien il est bon de rêver
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