Le sonnet
J’ai suivi les alizés pour toucher ton cœur,
J’ai chevauché les océans pour te suivre
Embrassé l’au-delà, jusqu’à en être ivre
Mais à chaque fois, tu repoussais mes ardeurs
Pour toi, j’aurais voulu bâtir le Sacré Cœur
Te consacrer des milliers de très beaux livres
Mais tu voulais que de moi, on te délivre.
J’ai vécu tout cela, de loin, dans la douleur.
Je me suis enfuie, si loin de toi pour pleurer
Que lorsque mes larmes ont cessé de couler
J’étais devenue une autre, sans tristesse.
Alors j’ai ouvert les yeux, et il était là.
Depuis toujours, près de moi, mon Nicolas
Pour lui, j’avais toujours été une déesse.
Maridan 20/02/2017 18h48
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