Maridan-Gyres

Le sentier courait parmi les arbres tropicaux,

Éclairé par une douce lumière tamisée.

On y entendait chanter beaucoup d’oiseaux,

C’était pour cela qu’il était très prisé.

Sur ses flancs des myriades de couleurs.

A travers la verdure vibraient,

De plantes venues d’ailleurs toutes en fleurs,

Que les passants se plaisaient à dénombrer.

De curieux parfums du sous-bois se dégageaient,

Toujours difficile à discerner,

Tant au sens, ils nous étaient inconnus.

Sur ce chemin chacun était le bienvenu,

En profitant dans cette forêt,

De beaux espaces faiblement ajourés.

François A