Maridan-Gyres

Sujet 1

Dans une salle surchauffée, le public est venu écouter les explications commentées par une célèbre archéologue entourée d’une flopée de chercheurs. Il était question des aventures rencontrées lors de ses fouilles effectuées dans le monde entier. Les difficultés qu’elle avait subies lors de ses recherches, de sa course à travers le monde pour faire progresser la science.

Elle avait fait des découvertes extraordinaires concernant des civilisations anciennes qui remettaient en question certaines idées préconçues sur leur mode de vie.

Désormais, elle pouvait lui faire part et lui réciter en détails ce qu’elle avait découvert et contribué à grandir, asseoir sa réputation.

Sujet 3

A) Tautogramme en A :

Anatole, ânier analphabète, emporte ses ânes dans les Alpilles.

Adrien, agriculteur à Aubusson, altier il arbore son automoteur.

Auguste, alpiniste arrogant, attaque avec ardeur l’ascension des Alpes

B) Lipogramme en S :

On croit chaque jour pouvoir oublier l’actualité lamentable que renvoie une partie d’un groupe politique de notre nation. Par malheur, à la radio comme à la télé, on parle de lui, de l’arrogance affichée, de leur diatribe coutumière.

L’Ètat réclame une entente cordiale, afin de gérer la nation, et non de conflit, de zizanie. Il faut mettre l’égo de côté et agir pour l’intérêt de la France.

Sujet 5 a)

Les années ont passé à un rythme effréné

Où sont passées mes tendres années

Celles heureuses de l’insouciance

Années joyeuses de mon adolescence

L’adolescent a mûri et la vie avec lui

Le travail, les responsabilités, les soucis

L’amour rencontré, une famille fondée

Des enfants sont nés et ont agrandi le foyer

Bébés ils ont été choyés tendrement

Aidés, maternés enfants

Accompagnés afin de les rendre indépendants

Sous notre regard bienveillant

Parents nous avons fait de notre mieux

Le temps a fait son chemin, nous sommes vieux

Les années ont passé à un rythme effréné

Où sont passées mes tendres années

Sujet 5c

En rase campagne la Faucheuse

Était d’humeur joyeuse

Une terrible guerre s’y déroulait

C’était ce dont elle raffolait

Écoutant le râle des mourants, leurs larmes

Consciencieusement elle affûtait sa lame

Puis dans ses bras décharnés

Elle les emmenait serrés

Les prenant sous son aile

Pour leur offrir le repos éternel

Romantini