Atelier 15 - 2024 - Sujet 2 photo 1, 3,
LES FALAISES D ' ÉTRETAT
* Voici un petit poème qui mêle la beauté des Falaises d'Étretat et les délices de sa gastronomie :
ÉTRETAT, JOYAU NORMAND
Falaises blanches, fières sentinelles
Dressées vers le ciel tels des cathédrales.
Étretat, mon amour, tes courbes si fines
Où la mer chante ses éternelles hymnes.
Dans tes criques secrètes où l'ombre se pose ,
Un trésor se cache, un fruit de la mer s'impose.
L'huître, délicate, au goût iodé,
Un délice à savourer, bien arrosé.
Et pour accompagner ce festin iodé,
Un cidre doux , pétillant, bien refroidi.
Un calvados, vieilli , à la robe ambrée,
Pour une soirée enivrée et mémorable.
Ainsi, Étretat , tu combles tous mes sens,
Tes paysages grandioses, tes saveurs divines.
Un tableau vivant où la nature s'exprime,
Et où la gourmandise trouve son sublime.
* Voici un poème sur les amours au cœur des Falaises d'Étretat :
ÉTREINTE DE FALAISES
Sous un ciel d'albâtre où la mer s'épanche ,
Deux cœurs unis, bercés par le vent marin.
Les Falaises d'Étretat, témoins de leur tranche
Où l'amour s'épanouir, pur et divin.
Le sable chaud, leur lit, la houle leur berceau,
Les embruns salés, leurs baisers volés.
Dans ce décor sublime où le temps s'écoule,
Leur amour s'inscrit, éternellement scellé.
Les goélands criards, leurs témoins silencieux,
Survolent ces amours, légères comme l'écume.
Sous le soleil couchant, aux couleurs changeantes,
Ils jurent une passion qui ne s'assoupira jamais.
Les Falaises d'Étretat, leur écrin de beauté
Où les cœurs battent à l'unisson.
Un amour infini sous un ciel d'été,
Un rêve éveillé où tout est fusion.
* Voici un poème qui évoque le mystère et la magie des légendes qui entourent les Falaises d'Étretat :
SECRETS D'ÉTRETAT
Dans les entrailles de la falaise blanche,
Des secrets se cachent, murmures de l'anche.
Des demoiselles, leurs ombres dansent encore
Près de la chambre où s'écrasa l'aurore.
L'Aiguille creuse, un trésor enfoui,
Arsène Lupin, son secret dévoilé.
Les pirates, les trésors, les trésors perdus,
Dans les grottes obscures où le vent mugit.
Olive, la jeune fille au cœur pur et brave,
A sauvé son village, son nom gravé
Sur la fontaine, éternel souvenir,
Des actes héroïques qu'il faut revivre.
Étretat, terre de légendes
Où le réel se mêle au rêve, qui s'étend
A perte de vue sur l'océan immense,
Un lieu magique où l'âme se balance.
* Voici un poème explorant un amour secret au cœur des Falaises d'Étretat :
SECRET DES FALAISES
Dans l'ombre des arches où la mer murmure,
Un amour naît , discret, loin des regards.
Sous le voile de brume, un secret enfoui
Dans les creux de la falaise où le cœur bat.
Deux âmes éprises se donnent en silence
Loin du tumulte, dans ce sanctuaire blanc.
Les mouettes témoins glissent en cadence
Sur cet amour caché fragile comme un banc .
Les baisers volés au creux d'une anfractuosité ,
Les regards complices sous un ciel changeant.
Un amour intense, une éternité
Dans ce lieu secret où tout commence et finit.
Les marées montantes effacent leurs traces
Mais leur amour demeure, gravé dans la pierre.
Un trésor enfoui dans ce paysage de grâce,
Un secret à jamais chéri et cher .
Marie Sylvie
Sujet 2
NOS BÉCANES ET NOS VINGT ANS
Couplet 1:
On avait nos bécanes, nos blousons de cuir .
Le vent dans les cheveux, la route à découvrir.
Des kilomètres à avaler sans jamais se lasser.
De jeunes insouciants prêts à tout casser.
Refrain :
Nos bécanes et nos vingt ans, quelle aventure !
On sillonnnait les routes sans peur et sans mesure,
Le soleil, le bitume, nos cœurs en émoi.
On revivrait ces jours-là, si on pouvait, toi et moi .
Couplet 2 :
On s'arrêtait au bord de la mer pour regarder le soleil se coucher.
On dansait sous les étoiles sans jamais vouloir dormir.
Des souvenirs gravés dans nos cœurs à jamais !
On a vécu intensément sans jamais rien regretter .
Refrain :
Nos bécanes et nos vingt ans, quelle aventure !
On sillonnnait les routes sans peur et sans mesure.
Le soleil, le bitume, nos cœurs en émoi.
On revivrait ces jours-là, si on pouvait, toi et moi.
Pont :
Les années ont passé, les cheveux ont blanchi.
Mais nos cœurs de motards, ils battent toujours aussi fort.
On se souvient de chaque virage, de chaque montée,
De cette liberté qu'on avait à tout jamais.
Refrain :
Nos bécanes et nos vingt ans, quelle aventure !
On sillonnnait les routes sans peur et sans mesure.
Le soleil, le bitume , nos cœurs en émoi.
On revivrait ces jours-là, si on pouvait, toi et moi .
SUR NOS DEUX ROUES À TRAVERS LA FRANCE
Couplet 1:
Nos casques vissés, nos blousons usés,
On sillonne les routes nos cœurs enivrés .
De ces paysages, ces champs de blé doré,
La France à nos pieds, un rêve éveillé.
Refrain :
Sur nos deux roues, à travers la France,
On redécouvre chaque nuance
De cette terre, de cette lumière,
Un amour infini, année après année.
Couplet 2:
Des côtes bretonnes aux Alpes enneigées,
De la Provence au bord de la mer,
Chaque virage, une nouvelle histoire,
Chaque kilomètre, un trésor d'espoir.
Refrain :
Sur nos deux roues, à travers la France,
On redécouvre chaque nuance
De cette terre, de cette lumière,
Un amour infini, année après année .
Pont :
Les années passent mais nos âmes d'enfants
Conservent cette joie, ces instants
Où le vent nous caresse et le soleil nous guide
Sur nos motos, unis pour l'éternité.
Refrain :
Sur nos deux roues, à travers la France,
On redécouvre chaque nuance
De cette terre, de cette lumière,
Un amour infini, année après année.
SOUS LE REGARD DE LA MADONE
Couplet 1 :
Porcaro, terre bénie de Bretagne, où nos chemins se croisent,
Sous le regard bienveillant de la Madone qui nous soigne.
Nos bécanes bénies, nos cœurs unis dans la prière
Pour que la route nous guide sans jamais nous laisser choir.
Refrain :
Sous le regard de la Madone, nous roulons sans peur
Le vent dans les cheveux, l'âme légère et pure.
Un pèlerinage unique où la foi se dévoile
Avec nos frères de route, notre grande famille.
Couplet 2 :
Nous étions jeunes et fous, les cheveux au vent,
La vie devant nous, un avenir sans précédent.
Aujourd'hui, les années ont passé mais notre passion demeure
Pour la route, la liberté et l'amour qui nous procure.
Refrain :
Sous le regard de la Madone, nous roulons sans peur
Le vent dans les cheveux, l'âme légère et pure.
Un pèlerinage unique où la foi se dévoile
Avec nos frères de route, notre grande famille.
Pont :
Merci Madone pour ta protection divine,
Pour avoir guidé nos pas, sur ces routes de Bretagne.
Nous te promettons fidélité et de toujours revenir
Pour célébrer notre amour de la moto et de la vie.
Refrain :
Sous le regard de la Madone, nous roulons sans peur
Le vent dans les cheveux, l'âme légère et pure.
Un pèlerinage unique où la foi se dévoile
Avec nos frères de route, notre grande famille.
Marie Sylvie
Sujet 5
LE DERNIER SOUFFLE
Un jour vivra, c'est sûr et certain
Où le souffle s'éteindra, doux et lent .
Un voyage sans retour vers l'inconnu,
Un mystère infini où tout se fond.
Les yeux se fermeront, le cœur cessera,
Le corps humain s'endormira, plus jamais ne dira.
Mais dans les cœurs aimants, la mémoire vivra.
Et l'esprit s'envolera là où les rêves irradient.
La mort n'est qu'un passage, un nouveau départ,
Vers d'autres horizons, un autre art.
Alors ne pleurons pas mais célébrons la vie
Car même dans la mort, l'amour ne s'enfuit.
RENAISSANCE DANS LES TÉNÈBRES
Dans un réduit obscur où les ordures jonchent,
Un coup sournois, un cri étouffé, le monde s'effondre.
Un corps inerte, un monde qui s'éteint,
Dans les limbes du néant, l'âme se joint.
Mais un réveil brutal, une conscience trouble,
Un voyage onirique où l'être se double.
La nausée monte, un goût amer dans la bouche,
Une renaissance tragique, un destin retouché.
Des ténèbres à la lumière, un retour inespéré.
Le cœur battant, la peur encore présente et serrée.
Marquée à jamais par cette épreuve cruelle,
L'âme cicatrisera plus forte et plus belle.
MORT ET RENAISSANCE
Chaque soir, un trépas, un dernier soupir,
Dans l'obscurité, mon âme s'en va dormir.
Mon corps brisé, usé par l'esclavage
Cherche dans le sommeil un court répit, un sauvetage .
Au matin, un réveil, une nouvelle vie.
Une blessure cicatrise, infime et timide .
Un espoir renaît, dans la pénombre du jour,
De guérir, de se relever, de vaincre l'amour.
Un cycle sans fin, cette mort chaque nuit
Est aussi une renaissance, une petite lumière qui luit .
Dans les profondeurs de mon être, une force se lève .
Contre la douleur et l'injustice , elle s'élève.
L'OMBRE DANSE
Dans les méandres de l'âme obscure,
Un ballet macabre, une danse obscure.
La mort, une amante, un désir ardent,
Un jeu morbide, un cœur déserté.
Des yeux vides, Un sourire glacial,
Une soif de sang, insatiable.
Les victimes tombent une à une
Dans les ténèbres d'une raison perdue.
Fasciné par le néant, l'éternité,
Il tisse sa toile avec cruauté.
Un esprit malade, un cœur de pierre,
Dans les ombres, il disparaît, mystère.
Marie Sylvie
Sujet 3 a et b
ANNONCE ADMIRATIVE
Anna aime Alice
Antoine achète des abricots
Aujourd'hui, Adrien a envie d'aller au cinéma en automobile.
Aurore admire l'arbre
Avec Alice, Arthur arrose les asperges
Avec ardeur, Antoine aborde l'art abstrait, admirant avec attention les artistes avant-gardistes.
Aurore, assise à l'arrière , admire avec attention l'arc-en-ciel apparaissant après l'averse.
Aujourd'hui, Armand arpente l'allée arborée.
Antoinette, assise au bord de l'étang, admire avec attention les algues et les arbrisseaux.
Avec agilité, l'araignée avance , attrapant avec adresse les autres arthropodes.
Automne, saison accueillante, apporte avec elle arbres aux feuilles aux couleurs éclatantes.
Au bord de l'océan Atlantique, Augustin admire avec attention les algues et les arabesques dessinées par l'écume.
Ah! L'amour !
Amélie aime Antoine
Avec affection, Arthur accompagne Alice.
Aujourd'hui, Adrien a avoué à Amélie son amour ardent
Avec son amitié sincère, Alexandre a accompagné Aurélie à l'exposition.
Depuis l'adolescence, Anthony et Audrey sont amis, attachés l'un à l'autre.
b) Lipogramme sans S :
Matin calme, tout dort
Un chat noir court
Petit lapin, mignon et doux pelage.
J'aime l'été car le ciel brille et réchauffe l'air.
Mon ami rit , il me fait du bien.
Un roi fort, un royaume paisible, un peuple heureux.
Un arbre grand, il a un beau feuillage vert qui donne de l'ombre.
La joie est belle, elle fait du bien au cœur.
MarieSylvie
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