Maridan-Gyres

CLÉO, NAPO ET LA PANTHÈRE BAGHÉERA

La Panthère, Bagheera,

Semblait sortir entre ciel et terre,

Époustouflante, elle se montra,

Sur la photo de la barque de Pierre,

Posée près du cimetière,

À la porte, aussi grande qu'un trou de gruyère.

De nos amis lilliputiens.

Il y avait de quoi méditer :

Cléopâtre aurait pu,

À moins que Napoléon y eût songé,

Et pour ce fait, gourmandé.

En ce mois de mars tarabusqué,

Tout ce qui est râpe dérape,

Sans que le ton soit léger,

Dures auraient été les frappes.

Au château un chevalier preux,

Fier de se servir de ses armes,

Pour secourir Cléo et Napo au mieux,

Sur un grimoire serait écrit ce fait d’arme.

Si l'on prend la vérité par la culotte,

Abyssales sont les contradictions.

Comment s'en prendre à cette mascotte,

Avec un éventail de punitions ?

Si vous n'avez pas mangé vos lunettes,

Pas besoin d’une prodigieuse enquête,

D'Istanbul à Berlin,

On peut mesurer la gaffe.

À leur époque, point de photographe,

Ne pas croire cette histoire, c'est faire Tintin.

Francois A.